Histoire d'une censure

Présentation du physicien Pascal Richet.
Voyez ci-cliquable un lien résumant deux preuves de l'absence d'effet du CO2 sur la température, données dans l'article de M. Richet. Cet article se distingue de tout ce qui a pu être écrit jusqu'à présent par sa simplicité puisqu'il ne requiert aucune préconnaissance.

Si l'article vous semble trop compliqué, le site suivant est fait pour le commun des mortels. Vous pourrez sautez des preuves dans la partie II e) si elles vous semblent trop compliquées. Enfin, bien que placés après la conclusion, les appendices de la partie III sont recommandés.

Son article a fait suffisamment de vagues pour être traduit en Allemand et en anglais qui était sa langue de publication.

On le mentionne aussi évidemment dans tous les blogues climato-réalistes, comme par exemple.

Le réglement d'une revue scientifique explicite toujours qu'un article publié n'a pas à être juste, vrai ou parfaitement raisonné. Toute personne en désaccord avec un article peut en soumettre un autre à la revue qui le publiera aussi. Or, en matière de climat la censure est la règle. Les réchauffistes ont érrigés des barrières. Ainsi, l'article de P. Richet a du être soumis à deux fois plus de relecteurs qu'un article normal, et il n'a qu'été accepté par une revue de seconde importance, Copernicus. Dans ce cas, dès la publication, les réchauffistes exercèrent une pression telle sur l'éditeur que celui-ci se vit contraint de retirer l'article dérangeant.

Évidemment, P. Richet avait donné son script à relire avant soumission à une revue à des dizaines de collègues spécialistes. C'est curieux, car ni eux, ni aucun des plus de 8 milles lecteurs et 2 milles téléchargeurs, qui ont eu le temps de lire cet article avant son retrait, n'a signalé une erreur, pas même la célèbre réchauffiste Valérie Masson-Delmotte (employée au CEA), son ami François-Marie Bréon et leur clique alarmiste ; qui ont du se contenter d'exclamations horrifiées sur des détails, car ils reconnaissaient implicitement la justesse du raisonnement. Ces deux personnages voulaient en plus acquérir les rapports de lecture sur l'article (ce qui est illégal), pour pouvoir les critiquer.

Cela explique qu'après que P. Richet eut beaucoup de mal à trouver un éditeur, son article a fait fureur. Mais les connaisseurs ont deviné que son article serait censuré, comme il est arrivé à un article montrant que le CO2 ne gênait pas le corail, ou comme il est arrivé à un article de chimie émettant l'hypothèse que l'homme puisse ne pas être responsable du chauffage de l'atmosphère.

qui n'a été remis en ligne que parce que des académiciens ont protestés.
Ainsi le climato-réaliste John V. Wright a prédit en May 27, 2021 à 10:40 pm. (Nick Stokes qui est évoqué à plusieurs reprises dans le message de John V. Wright, signalant que M. Richet sera voué à la déconsidération, est un commentateur réchauffiste dont les messages apparaissent en premier.)

On ne censure jamais ce qui est faux, mais ce qui est vrai et dérangeant (cf. censures en Chine ou pendant la guerre).
Effectivement, il y a eu censure. Elle s'est faite en deux temps. L'article a d'abord disparu de sa page pour devenir accessible après qu'on ait cliqué plusieurs fois dans des petits mots cachés tout en assurant être au courant qu'on va lire des choses peut-être non-scientifiques.

Puis, il n'était plus lisible du tout dans le site de l'éditeur.

Entre temps, un journal espagnol lui a demandé d'écrire un article.

lisible gratuitement dans le blogue de l'éditeur.

traduit ci-dessous en français.

Le seul homme non-scientifiques et médiatique qui l'ait soutenu est Jean-Philippe Delsol qui a écrit pour l'IREF et Valeurs Actuelles.

(On pourra se demander pourquoi les climato-réalistes se trouvent plus à droite qu'à gauche, mais c'est un autre sujet).
À peine son article censuré de Copernicus, la diffusion de la nouvelle qui commençait à se faire cahin caha a été arrêtée.
Enfin, vous pourrez trouver les réponses de P. Richet faites aux critiques qui lui ont été faites ci-cliquables.

Par ailleurs, comment deux milliardaires étasuniens dévoient la science sur le climat.